Le Shopping les Bastions devient une toile vivante où l’art et la culture s’unissent pour vous offrir une expérience unique. Transformez votre virée shopping en une véritable balade artistique où chaque pas est une occasion pour découvrir des œuvres d’art.
Découvrez toutes nos oeuvres d'art :
La rénovation du nouveau Shopping les Bastions est l'oeuvre de l'architecte londonien Charles Dunnett.
Un apport en lumière naturelle est omniprésent grâce à des lanterneaux géants, dont le rythme caractérise la nouvelle expression du Shopping les Bastions. En effet, la forme unique de chaque verrière, avec le concours du soleil, donne naissance à des jeux de lumière au sol qui varient en fonction de l'heure et des saisons.
Artiste bruxellois, Blancbec a réalisé Déconstruction, la toute première oeuvre en céramique du Shopping les Bastions. L'oeuvre est découvrir au-dessus des escalators près de l'entrée n°4.
Description de l'oeuvre par Pierre Henrion :
Comme par ailleurs dans le travail de Blancbec, Déconstruction intrique les références et les couches de lecture.
D’abord, le peintre avec son drôle de nom d’oiseau va puiser dans ses souvenirs. Il y a de la nostalgie dans l’allusion au modèle du puzzle à coulisse, moins populaire aujourd’hui qu’hier. Mais Blancbec ne doit pas être le seul à se rappeler avoir fait glisser les petits carrés en plastique de gauche à droite et de bas en haut, pour retrouver une image. Sauf qu’ici, les céramiques ne bougent pas et les pièces du puzzle restent mélangées. Le motif a pourtant été exécuté avec tout le soin que l’artiste accorde à ses peintures marquées par leur veine figurative, une « écriture » géométrique, des couleurs éclatantes et un fini impeccable.
Bien qu’obtenue sur le mode aléatoire, la composition presque abstraite a les qualités formelles d’un tableau bien fait. J’aurais peut-être écrit « façon De Stijl ». Mais on reconnaît des yeux et des bouches, ceux et celles de deux fleurs – l’une au sourire radieux, l’autre à la mine morose – qui, dans l’image d’origine, cortègent un Goldorak géant comme il se doit. L’iconique robot de l’espace qui anime les débuts de soirée devant le petit écran à la fin des années 1970 est plus déconstruit que le pont des Trous. Personne ne le voit mais il est bien là. Et la nostalgie aussi, au moins celle de tous ceux qui, enfants à l’époque, se prenaient à rêver de revêtir la combinaison d’Aktarus et de prendre les commandes de sa machine de guerre humanoïde.
« Je voulais parler de ruptures visuelles, celles-là qui stimulent la réflexion sur la nature changeante de nos perceptions, de nos connaissances, explique Blancbec. Je suis conscient que l’image n’est pas accessible et que cela interroge les rapports entre ce que l’on voit et ce que l’on cherche à reconnaître. Et puis, l’image recomposée sera accessible via une réalité augmentée. »
Une deuxième interprétation par Wolfini l'Augmentiste :
La deuxième interprétation de l'oeuvre Déconstruction a été réalisée en réalité augmentée. Cette animation vidéo a été créée par Jean-Louis Decoster, aussi connu sous le pseudonyme de Wolfini l'Augmentiste, un artiste vidéo passionné explorant les frontières entre l'art et la technologie.
Pour plonger dans cette expérience artistique unique, fusionnant le monde physique avec le numérique, il faut télécharger l'application gratuite Artivive et scanner l'oeuvre avec son smartphone.
Artiste graffeur qui enrichit son expérience à tracers ses voyages, Mahou a réalisé une oeuvre d'art représentant le visage d'une femme avec le regard tourné vers l'avenir.
L'oeuvre est découvrir au parking -1, en empruntant les escalators ou l'ascenseur près de l'entrée n°4. L'oeuvre se situe sur l'un des murs extérieurs du SAS d'entrée.
Une nouvelle fois, Mahou s'est engagé dans la réalisation d'une oeuvre d'art symbolisan le développement durable. La fresque invite tout à chacun à penser à l'avenir et l'importance du recyclage.
L'oeuvre est à découvrir sur le mur en face du tourniquet de l'entrée n°2.
Artiste de renommée internationale, Oli-B s'est lancé dans un défi artistique très technique : la réalisation d'une oeuvre de 600m² sur le plafond du centre commercial. L'oeuvre est à découvrir sur le plafond de la galerie à l'entrée n°5.
Durant 3 semaines, les clients, commerçants et restaurateurs du Shopping les Bastions ont pu admirer en direct la naissance inédite d'une oeuvre d'art. Perchés à 12m de haut dans des nacelles, l'artiste Oli-B et son assistant ont réalisé le premier "live painting" de cette ampleur dans la région et dans un centre commercial en Belgique.
Peindre 600m² d’un plafond non pas plat mais composé de surfaces inclinées et à 12 m de haut, s’est révélé être un défi artistique très technique ! « La complexité de la surface et la grande verrière qui apporte beaucoup de lumière m’ont séduit. On n’attend pas l’art dans une galerie commerciale ; de mon point de vue, c’est d’autant plus intéressant d’y être présent. Nous avons joué avec 30 couleurs assemblées en formes libres. Chacun peut les interpréter à sa guise et les réinterpréter différemment à chaque visite », déclare Oli-B.
Artiste belge d’origine italienne, Sara Conti a réalisé La Force, donna di Luce faisant référence à “La Force”, 11ème arcane majeur du tarot de Marseille et aux représentations de Sainte Marie écrasant un serpent. L'oeuvre est à découvrir sur le mur près de l'entrée n°3.
Cette œuvre captivante représente une femme qui maintient la gueule d’une créature monstrueuse, sans effort ni recours à la brutalité. Elle n’est pas violente, elle maîtrise la bête tout naturellement. Elle est en pleine possession de ses capacités et ne cède pas à ses instincts primaires.
